Oracle de Theotokos - L’Immaculée Conception :

 « Ma révélation à Lourdes « Je ‘SUIS’ l’Immaculée Conception » assurera éventuellement que la vérité germera de la terre, et du ciel, d’où je suis descendue, se penchera la justice. De nombreux problèmes mondiaux seront alors résolus. »

Qu’est-ce qui est à l'origine de l'anarchie, de l'inégalité et de l'injustice qui persistent à de nombreux niveaux dans nos sociétés, nos familles d’église et individuelles ?

 

Est-ce le fait d'avoir nié la divinité de ‘Theotokos’, l’Immaculée Conception, la bien heureuse Vierge Marie ?

Sous l'influence de leur époque, notamment en accord avec la tradition abrahamique, les Pères de l’Église ont choisi de conférer à Dieu une personnalité exclusivement masculine.

Cette décision n'a-t-elle pas incité les hommes à se comparer à un seul Dieu prétendument masculin, au détriment du genre féminin ?

Cette divinité attribuée par les hommes au Père, et non à la Mère, même dans le contexte d’une famille divine qui devrait symboliser une perfection exemplaire, est-elle à l’origine des problèmes sociaux qui perdurent depuis des millénaires ?

N’est-il pas évident qu'une politique ecclésiale favorisant l’inégalité des genres a simultanément engendré et fusionné avec une politique séculière aux conséquences désastreuses ?

Dans quelle mesure cette politique ecclésiale a-t-elle corrompu la politique séculière, créant la ségrégation entre femmes et hommes, et la subordination des droits des femmes par rapport à ceux des hommes ?

N’est-il pas également évident qu’une réforme de la politique ecclésiale, reconnaissant la divinité égale et impérative entre le masculin et le féminin, pourrait réformer cette politique séculière héritée de la culture ecclésiale ?

La convergence de ces deux politiques, visant à égaliser les droits de tous, ne serait-elle pas la solution aux problèmes de notre civilisation divisée et encore insuffisamment civilisée ?

Les Pères de l’Église n’ont-ils pas été à l’encontre des tendances familiales divinement naturelles ?

N’observons-nous pas, en général, que chez de nombreuses espèces animales, ainsi que chez les humains, ce sont majoritairement les mères qui témoignent le plus d'affection et de soins envers leurs enfants ?

N’est-il pas évident qu’une mère est généralement plus proche de la vie qu’elle a portée en elle que le père ?

Pourquoi cette tendance chez les animaux et chez les humains ne serait-elle pas de source divine et, de ce fait, instinctivement et naturellement observée à travers la création de Dieu ?

La biologie et l’évolution :

Chez les mammifères, les femelles investissent beaucoup d'énergie dans la gestation et l'allaitement, ce qui les rend naturellement plus impliquées dans les soins des jeunes. L'attachement maternel est donc plus prononcé pour garantir la survie des petits.

Rôle traditionnel et social :

Contrairement à la tradition abrahamique et aux avancées ecclésiales qui cherchent à donner plus d’importance au Père, chez les humains, les rôles de genre traditionnels ont historiquement attribué aux mères le rôle principal de transmettre l’amour, de source divine, à toute nouvelle vie à laquelle elles ont donné naissance. Avec ce même amour, la mère nourrit et prodigue sans réserve tous les soins nécessaires à ses enfants dès leurs naissance. Le rôle de soignante, qu’elle assume naturellement et avec beaucoup d’émotions, renforce le lien prédominant entre une mère et son enfant.

Sans la présence de sa mère au sein de la Trinité, Jésus et sa Mère ne seraient-ils pas privés, par la faute majeure d’une conception orgueilleuse et égoïste masculine, de cette relation maternelle et filiale, évidemment primordiale pour la croissance d’un amour divin parfait et sain qui doit relier le divin à l’humain ?

Comportement observé :

Pour souligner ce comportement essentiel entre une mère et son enfant, même en l’absence d’une intelligence humaine, de nombreuses espèces montrent instinctivement des comportements maternels marqués. Par exemple, les lionnes chassent pour nourrir leurs petits, les éléphantes protègent et élèvent leurs veaux, et les primates femelles, comme les chimpanzés et les gorilles, montrent une attention constante et des soins directs à leurs enfants.

Changement de comportement :

Grâce à toutes ces observations, une prise de conscience se développe lentement mais sûrement chez les humains pour assainir notre société. Ainsi, les rôles parentaux évoluent dans un esprit d’égalité de mieux en mieux reconnu et apprécié. Une responsabilité et une dualité parentales doivent témoigner d’un soutien émotionnel important, tant au niveau de la famille divine, qui doit être reconnue comme exemplaire, qu’au niveau de la famille humaine, qui doit suivre le pas.

N’est-il pas grand temps que les humains reconnaissent, enfin, au sein de la famille divine, ce qu’ils commencent à reconnaître au sein de la famille humaine ? 

Car si nous parvenons à le reconnaître sur le plan humain, comment imaginer que ce soit différent sur le plan divin ?

L’Immaculée Conception, la bien heureuse Vierge Marie, ne devrait-Elle pas être perçue comme manifestant, au sein de tout mystères, un amour divin féminin supérieur envers Son fils Jésus, dépassant celui naturellement démontré par les humains et les animaux pour leurs enfants ? 

Comment les ecclésiastes peuvent-ils persister à forcer les fidèles à croire que l’Immaculée Conception, la bien heureuse Vierge Marie, en tant que Mère de Dieu, pourrait être exclue du mystère de la Trinité ?

Ces ecclésiastes ne privent-ils pas le monde de la capacité d'entrevoir et d'acclamer, au niveau divin, ce qui commence à être compris au niveau humain ? Que la Mère de Dieu doit, comme toute autre mère de famille, être par essence, au cœur de tout mystères, pour pouvoir constamment manifester envers Son fils, Jésus, un amour maternel exemplaire, sinon supérieur, tout au moins divinement égal à celui que Dieu, Son Père, Lui témoigne ?

Répétons le : Comment l’Immaculée Conception, la bien heureuse, Vierge Marie pourrait-Elle être mise à l'écart du mystère de la Sainte Trinité ? 

Comment les hommes peuvent-ils oser continuer à blasphémer contre la Mère de Dieu, en affirmant que l’Immaculée Conception la bien heureuse Vierge Marie, Mère de Dieu, ne mérite pas Sa place prépondérante dans ce mystère trinitaire exclusivement masculin ?

Quand les hommes ecclésiastiques brisent systématiquement la famille de Dieu en ignorant la mère créée à Son image (Genèse), pourquoi s'étonner de voir se désintégrer, au sein de la société, le concept même de famille exemplaire. Une famille qui devrait être composée d'une mère, d'un père et d'un enfant, tous unis inséparablement par un même Esprit d'Amour Saint.

Le monde a subi pendant trop longtemps les effets néfastes d’une culture mal fondée et  malencontreusement, enracinée, mais non pas irréversible d’urgence.

Pour plus d’information et une compréhension approfondie de cette mission, consultez :

Leclézio L (2021) Quatronité une nouvelle vision - Pamplemousses Editions.

Leclézio L (2022) Discover the Quattronity - Amazon.com 

Blog : https://triniteetquattronite.blogspot.com

Cela répondra aux interrogations et apportera des clarifications sur les enjeux théologiques et sociaux évoqués.