Éclaircissements suite à des commentaires pertinents… Reconnaissons le souffle de l’esprit dans les vents qui changent


Je vous remercie tous pour votre patience et vos efforts constants à m’éclairer et à me guider sur la bonne voie. J’apprécie énormément l’opportunité de partager avec vous tous qui êtes si érudit cette quête de la Vérité, de la Vie et de la Voie.

Je retiens les points suivants que vous avez soulevés lors de nos entretiens alors que nous cheminons avec foi vers la reconnaissance de la véritable identité de Dieu.

Voyons voir :

Nicée-Constantinople - (325) « ... cette longue durée et des générations de pères… »

Combien de mères ont représenté le genre féminin au sein des conciles et des décisions de l'Église durant les deux derniers millénaires ?

Pourquoi, avant le XXIe siècle, les femmes, qu'elles soient mères ou célibataires comme les 'Mon Père', évêques et cardinaux, n’ont-elles pas été invitées à participer ? 

Pourquoi n'est-ce qu'au XXIe siècle qu'un ecclésiaste, le Pape François, a enfin eu le courage d'offrir une représentation, certes extrêmement minoritaire et donc déséquilibrée, à une seule femme célibataire, Sœur Nathalie Becquart, lors du dernier synode ?

Si les historiens et les théologiens ont choisi, pendant des siècles, de laisser une multitude de fidèles boiter sur la Voie, dans l’unique but d’établir, de faire primer, de propager, de protéger et de défendre leur orgueil, prions pour que, au XXIe siècle et pour les siècles à venir, ils soient pardonnés pour avoir blasphémé contre la Mère de Dieu. Prions pour que les obstacles mal fondés qu’ils ont érigé sur la Voie des pèlerins vers la Vérité et la Vie éternelle soient tous enlevés. Entretemps, comme nous le dit Saint Thomas d’Aquin : « Il vaut mieux en effet boiter sur le chemin. »

Prions pour que nous soyons libérés des chaînes de cet esclavage inculqué depuis des générations, qui nous lie à une vision restreinte de la personnalité de Dieu le Père.

Ne suivons pas les pas de la folie des hommes et de leur orgueil. 

Ne continuons pas à promouvoir l'image d'une famille divine trinitaire exclusivement masculine, composée d'un Esprit Saint, d'un Père et d'un Fils. Une telle représentation pourrait suggérer qu'à l'origine, le ciel, la terre, et l'univers visible et invisible ont été créés par un trio exclusivement masculin. Cela contredirait le concept même de la création de la vie.

L'homme et la femme ont été créés à l'image de Dieu. Ainsi, le pèlerinage de l’humanité sur terre ne devrait-il pas nous conduire à une pleine communion avec la divinité, dont nous partageons déjà les traits et que nous partagerons plus parfaitement au ciel ?

Est-il concevable que Dieu, qui est juste, équitable, salutaire et bienveillant envers tous, puisse favoriser l'homme au détriment de la femme ? Ne reçoivent-ils pas, homme et femme, les dons de Dieu à part égale ?

À l’exemple de Dieu, témoignons donc, sans favoritisme, un amour juste, équitable et salutaire envers tous les aspects de la famille divine et de Sa Quattronité : l'Esprit Saint, la Mère, le Père et le Fils, Jésus.

En réalité, quel Père, plein d'amour pour Son enfant, Jésus, ne serait pas tout aussi rempli d'affection pour la Mère qui a enfanté leur Fils grâce à un Esprit Saint et Sain ?

Quel Père, si plein d'amour pour Son enfant, voudrait se placer sur un piédestal si supérieur à la Mère de leur enfant qu'Il ne voudrait pas que le monde la reconnaisse comme son égale ?

Pourquoi aurait-il honte de la mère d'un enfant envers lequel Il témoigne tant d'amour ?

N'est-ce pas uniquement un Père narcissique qui ne chercherait pas à mettre la Mère de leur enfant à l'honneur ?

Un père et une mère ne devraient-ils pas être également admirables et adorables l'un que l'autre, avec leurs enfants inclus ?

N'est-ce pas là la véritable image que Dieu le Père voudrait que l'humanité ait de Lui ?

N'est-ce pas là l'unique exemple que Dieu le Père, si plein d'amour pour La Création, voudrait nous donner ?

N'est-ce pas que ce sont seulement des hommes qui, pour leurs raisons égoïstes, ont décidé de dissocier le Père et la Mère de Dieu, Jésus, leur fils, en retirant à Marie Sa divinité ?

Est-ce que Jésus, enfant de la Bienheureuse Immaculée Vierge Marie, aime l'idée que, selon les hommes, Sa Mère n'est pas suffisamment bonne pour être divine et faire partie non pas de la Trinité mise en avant par des hommes, mais de la Quattronité de Dieu, telle que cette famille parfaite doit représenter ?

N'est-il pas évident que ces hommes ont constamment cherché à imposer une suprématie qu’ils se sont eux-mêmes attribuée, en s’acharnant à convaincre le commun des mortels que cette suprématie leur soit d’emblée reconnue et accordée en ayant recours à toutes sortes de subterfuges dogmatiques derrière lesquels ils se sont réfugiés, au nom de la foi, au fil des années ?

En agissant ainsi, ces hommes se sont-ils souciés des conséquences alarmantes pour la société pendant des siècles et des siècles à venir ?

Au XXIe siècle, l’église ne subit-elle pas ces conséquences ? 

Ne sont-elles pas à la racine de sa souffrance ?

« Que Marie soit ceci ou cela n'a plus de grande importance, l'humanité est sauvée dans le Christ »

Grâce à Marie, Mère de Dieu, qui doit certainement partager une divinité égale avec le reste de la consubstantialité du Dieu qui se doit d’être reconnu comme étant Quattronitaire, unique, indivisible et indispensable en tant que Créateur du ciel, de la terre et de tout l’univers visible et invisible.

D’ailleurs, sur le plan humain, selon la loi juive traditionnelle (halakha), la judéité est généralement transmise par la mère. Cela signifie qu'un enfant est considéré comme juif si sa mère est juive.  

Cette loi et tradition juive n’implique-t-elle pas que la divinité et l’humanité de Jésus doit être aussi transmise par une mère d’origine divine et subséquemment humaine ? Ainsi pour que Jésus soit considéré comme divin et humain, Sa Mère, la bien heureuse, Immaculée Vierge, Marie, épouse de l’Immaculé Esprit Saint, n’est-Elle pas essentiellement d’origine divine engendrée humaine pour donner naissance à notre Sauveur, Jésus Christ ?

« Marie sillonne le monde dans toutes les langues comme la dernière apôtre »

Pourquoi ce refus constant par les hommes de reconnaître la divinité de Marie ? Pourquoi Marie doit-elle être abaissée et rejetée au second plan ? Pourquoi Marie doit-elle n’avoir droit qu’à un statut d’apôtre et servante sillonnant le monde alors que la bien heureuse Immaculée Vierge, Marie est Mère de Dieu et épouse de l’Immaculée Esprit Saint ? Est-ce tout simplement pour ne pas faucher l’herbe sous les pieds des hommes au pouvoir ? N’ont-ils pas, de tout temps, voulu maintenir le pouvoir et dominer la femme en la reléguant au statut de ‘servante’ ?

Était-il plus facile pour une poignée d’érudits au Moyen Âge et antérieurement de manipuler l’opinion publique d'une masse peu éduquée pour atteindre un but de suprématie masculine, alors jugée politiquement correcte et avantageuse ? 

Mais au XXIe siècle, dans un monde bien plus éduqué qui recherche la vérité et qui dispose de nombreux moyens pour le faire, n'est-il pas crucial de sortir des sentiers battus, d'abandonner ce qui était politiquement correct au Moyen Âge et ce qui est désuet de nos jours, et d’avoir le courage de faire face à la réalité ? Combien de temps encore les ecclésiastiques érudits de notre époque pensent-ils pouvoir cacher la Vérité absolue à un monde tout aussi érudit ?

La vérité :

Que démontrent les écritures ?

« Je suis le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob »

N'est-il pas le Dieu de leurs épouses aussi ? Des historiens impartiaux n’auraient-ils pas dû dire plutôt : « Je suis le Dieu d'Abraham et de Sarah, d'Isaac et de Rebecca, de Jacob et de Léa » ?

L'évangéliste Luc ne met-il pas intentionnellement les paroles suivantes dans la bouche de Marie :

« Voici la servante du Seigneur ; que tout m’advienne selon ta parole » ? 

Le but de Luc n’était-il pas, ce faisant, de respecter les mœurs et coutumes de l’époque qui ne reconnaissaient pas l’importance de la femme, et Marie ne pouvait être reconnue que comme servante et non d’origine divine ? 

En mettant le désir de la domination des genres de côté et la nécessité d’être politiquement correcte selon les coutumes de l’époque, cela n’aurait-il pas été plus authentique si Luc avait rapporté que Marie avait en réalité dit : « Voici l’Immaculée épouse de l’Immaculé Esprit Saint ;  que tout m’advienne selon notre volonté divine » ? 

En déclarant à Lourdes : « Je suis l’Immaculée Conception » la bienheureuse Immaculée vierge Marie a-t-Elle chercher à nous éclairer et à nous guider vers la Vérité incontestable ?

Matthieu ne prouve-t-il pas le fait que au temps des évangélistes, l’importance des femmes n’était pas reconnue ?  Matthieu ne suit-il pas dans le sillon de Luc, quand ses paroles n’attribuent aucune considération aux femmes et aux enfants : 

« Ceux qui avaient mangé étaient 4000 hommes, sans compter les femmes et les enfants » ?

L’enfant Jésus aimerait-Il vraiment voir l’importance d’une mère, Sa Mère en l’occurrence, être amoindrie en étant carrément ignorée ? Marie, qui suivait Jésus partout, était-Elle aussi là, mais fut tout autant ignorée par Mathieu comme le furent les autres femmes et enfants lors de la multiplication des pains ?

Le temps n’est-il pas venu de reconnaître que toute égalité, créée en attribuant une divinité à la femme, aurait trop déranger et contribuerait encore à ce faire ? 

Au Moyen Âge, Saint François d’Assise l’a tacitement bien reconnu à travers son cantique, balançant l’égalité des genres à travers Frère Soleil, Sœur Lune, etc. Sa philosophie, manifestant un équilibre entre le féminin et le masculin, ne pouvait se permettre d’être plus explicite. Cependant, cette philosophie est relevée et a été mise en évidence dans le petit manuscrit franciscain retrouvé récemment, « Propter Unum Principium ». Saint François aurait-il été condamné au bûcher si ce manuscrit avait été trouvé et publié au Moyen Âge ?

Car le juste concept de la réalité de cette égalité a toujours dérangé. L’homme ne veut et ne peut accepter une forme d’équilibre entre son pouvoir et celui de la femme. C’est pourquoi, de tout temps, l’homme a cherché à dominer la femme en s’offrant le luxe de se comparer uniquement à la suprématie d’un Dieu, représenté comme étant singulièrement masculin, au-dessus de tous et de tout. L’homme a ainsi passionnément, quoique faussement, cherché à s’affirmer en affirmant ce déséquilibre au sein de la divinité pour arriver à l’étendre à l’humanité.

Donc comprenons que : 

Bien que la divinité de la bienheureuse Immaculée Vierge Marie soit une question éminemment importante, cela ne peut être acceptable à une hiérarchie ecclésiastique dominée par des hommes de pouvoir que sont les curés, évêques et archevêques confortablement assis dans leurs sièges.

Cependant, comme rien n’est impossible à Dieu, seule la Quattronité de Dieu, une fois reconnue grâce à l’intercession et aux messages de la bienheureuse Immaculée Vierge Marie, lors de Ses apparitions, arrivera à bousculer un dogme illogique, vieux de près de 2000 ans, promu uniquement par des hommes égoïstes, dominateurs et contrôleurs. Acceptons et reconnaissons que ce dogme a été mis en place strictement par ces hommes pour faire perdurer leur prétendue suprématie mal conçue et mal placée sur les femmes.

Prions pour que l’ultime Vérité règne enfin au XXIe siècle. Et pardonnons surtout à tous ceux qui, pour des motifs égoïstes, se sont acharnés à ne pas vouloir reconnaître que nous sommes tous, femmes et hommes, égaux, tout en ayant reçu des dons spécifiques, différents et complémentaires venant de la Quattronité du Dieu unique et indivisible.

Considérons que :

Si Dieu le Père voulait que l’humanité Le perçoive en tant qu’un célibataire créateur, pourquoi Dieu aurait créé l’homme et la femme à Son image ? (Genèse 1:27) 

Comment créer une image sans ‘une’ originale ? 

Pourquoi Dieu aurait-Il conçu et promu une relation d’amour créatrice pour enfanter la vie sous l’influence d’un Esprit Saint et unificateur si Dieu voulait être reconnu comme un célibataire endurci ?

« Je suis la Vie, la Voie et la Vérité »

Qui dit cela ? 

Le Père, la Mère, le Fils ou l’Esprit saint ? Ou tous les quatre consubstantiellement unis ? 

Qui apporte, porte et enfante la Vie ? 

Qui ouvre la Voie ? 

Qui abrite et habite la Vérité de l’union consubstantielle des quatre entités, divine unique et inséparable ? 

Sous l’influence de l’Esprit, Jésus ne devient-Il pas le fruit qui représente la Vie, la Voie et la Vérité qui unit le Père, la Mère et l’Esprit ? (Horatio Brito, chanoine de Lourdes… voir clip qui peut être envoyé sur demande par WhatsApp, Saint-Louis Marie de Montfort et Saint-François d’Assise, pour n’en citer que trois, l’ont bien compris.)

Jésus, l’homme Dieu, en Croix, ce fruit de l’AMOUR DIVIN INFINI qui rassemble au complet, Mère, Père, Enfant tous unis par un même Esprit Saint, tous rassemblés autour de La Croix ne nous montre-t-Il pas l’intensité et la réalité de cet AMOUR EXEMPLAIRE ? 

L’AMOUR MANIFESTÉ AUTOUR DE LA CROIX n’est-Il pas La Voie vers le témoignage ‘par excellence’ d’une union Quattronitaire Divine parfaite, unificatrice, unique, indispensable et indivisible ? 

N’est-ce pas cela l’exemple d’amour éternelle que Dieu a voulu donner à l’humanité grâce à son amour pour la famille et sa Création ?

N’est-ce pas cet amour de la Vérité absolue et le profond désir de la Vie éternelle en communion avec la Quattronité de Dieu qui nous conduit vers la source même de toute création et le bonheur parfait?

Oracle du Seigneur : Honorez la Quattronité de Dieu et reportez le temps de l’apocalypse.

Amen.🙏

Pour d’avantage d’éclaircissements :

‘Quattronité une nouvelle vision’ - Pamplemousses Editions. 

‘Discover the Quattronity’ - Amazon.





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